Première route de MERDE. Les 30 kilomètres du début du Guatemala ne sont pas asphaltés car c’est la chicane à savoir à qui est cette partie de terre. Donc le gros gravier ne vous souhaite pas la même bienvenue que le reste du pays. Les gens de ce magnifique pays on le cœur sur la main. Après notre dure journée (du au gravier) une famille nous a gentiment accueilli pour la nuit.
De retour à 4 sur la route destination SEMUC CHAMPEY par la route au Nord du Lago Izabal. Mauvais choix de route, elle était en construction et surement pour quelques année encore! On a donc changé notre itinéraire après 35 km de route de merde arrivé à El Estor. Un Ferry était indiqué sur notre carte (2006) mais qui n existe plus depuis 1996 à cause de la construction du pont a Rio Dulce. À 4 sur le bord de la berge on a quand même été capable de dénicher une petite embarcation qui pouvait contenir nous 4 et nos maisons roulante!
 Se loger à Antigua est très facile et GRATUIT chez la police touristique. Ils possèdent le terrain de l’ancienne hôpital pas bien loin du marché central.
Se loger à Antigua est très facile et GRATUIT chez la police touristique. Ils possèdent le terrain de l’ancienne hôpital pas bien loin du marché central.  Antigua est une belle ville à l’architecture très détaillée ce n’est plus la capitale car la fréquence des tremblements de terres et les éruptions des volcans l’entourant étaient trop destructeurs. D’ailleurs le volcan Pacaya est toujours actif et il est très intéressant d’aller y manger des guimauves cuites sur la lave. ***Attention à vos souliers, la chaleur y est tellement élevée que vous pouvez en perdre vos semelles.  Plusieurs autres activité y sont offertes le marché Chichimantenango, Semuc Champey et plus encore.
Antigua est une belle ville à l’architecture très détaillée ce n’est plus la capitale car la fréquence des tremblements de terres et les éruptions des volcans l’entourant étaient trop destructeurs. D’ailleurs le volcan Pacaya est toujours actif et il est très intéressant d’aller y manger des guimauves cuites sur la lave. ***Attention à vos souliers, la chaleur y est tellement élevée que vous pouvez en perdre vos semelles.  Plusieurs autres activité y sont offertes le marché Chichimantenango, Semuc Champey et plus encore. 
Le Lago Atitlan est aussi à voir. Faut par contre utiliser sa force mentale autant sinon plus que ses cuisses… ca monte en malade pendant des dizaines et des dizaines de km (2700-2800 mètres d’altitude) Ca vaut par contre toujours la peine, quels paysages, la plus belle route (qu’on ait fait) au Guatemala.
 Nous avons séjournés en camping à l’hôtel Azul avec vue sur le Lago et ses 3 volcans. Il est important de bien chercher cette hôtel car l’autre camping est très mal situé et drôlement géré (le proprio ressentait avoir été enlevé par des extra-terrestres). Il y a un marché à ne pas manquer, Chichimantenango. On a oublié les vélos pour s’y rendre afin de vivre l’expérience des chickens bus, un vrai tour de montagnes russes. Une expérience à vivre absolument!!!!
 Nous avons séjournés en camping à l’hôtel Azul avec vue sur le Lago et ses 3 volcans. Il est important de bien chercher cette hôtel car l’autre camping est très mal situé et drôlement géré (le proprio ressentait avoir été enlevé par des extra-terrestres). Il y a un marché à ne pas manquer, Chichimantenango. On a oublié les vélos pour s’y rendre afin de vivre l’expérience des chickens bus, un vrai tour de montagnes russes. Une expérience à vivre absolument!!!!  A chichi ce n’est pas le marché qui est dans la ville mais la ville qui est le marché. Des centaines d’artisans présentent leurs produits et habillement aux TRÈS MULTIPLES couleurs de leurs régions.  Il y a plusieurs produits artisanaux qu’on aurait bien ramené mais le vélo c’est restreint. On a pu aussi y gouter plusieurs mets typique, un vrai régal.
A chichi ce n’est pas le marché qui est dans la ville mais la ville qui est le marché. Des centaines d’artisans présentent leurs produits et habillement aux TRÈS MULTIPLES couleurs de leurs régions.  Il y a plusieurs produits artisanaux qu’on aurait bien ramené mais le vélo c’est restreint. On a pu aussi y gouter plusieurs mets typique, un vrai régal. Les gens ne sont pas toujours bien renseigné ou se paye notre tête. Pour quitter le Lago Atitlan notre carte indiquait une route contournant le lac mais le proprio de l’hôtel nous a dit que ce n’était pas asphalté et que c’était un cul de sac. Encore une fois on a cherché une lancha pour y traverser cette fois le Lago Atitlan. (On a su quelques semaines plus tard que la fameuse route est très bien là) Quelle belle traversée facile suivi de 30 km de descente, dont une partie escorté par la police car trop dangereux.
CHEMIN DE RETOUR
 On a déjà fait presque tout ce qu’on désirait dans ce pays, la côte ouest ne possède pas grand attrait touristique. On s’est rendu à la ville de Monterrico au bord de la mer. On s’est encore fait avoir par la carte par contre. La route par laquelle on est arrivée ne s’y rendait pas. Il y avait un service de lancha qui parcourait la lagune. On a donc encore une fois embarqué nos vélos et profité de la traversée. La ville est reconnue pour la sauvegarde des tortues marines, s’était donc notre dernière chance d’en voir en nature (août à novembre est la saison de la ponte). Malheureusement la soirée qu’on a marché sur la plage le temps était tellement mauvais qu’elles ne devaient pas avoir envi de sortir de la mer. On a eu tout un spectacle, le ciel était tellement noir qu’on ne voyait pas à plus de 2 pieds devant nous et il y avait des éclairs gigantesques, c était complètement capoté, inoubliable.
On a déjà fait presque tout ce qu’on désirait dans ce pays, la côte ouest ne possède pas grand attrait touristique. On s’est rendu à la ville de Monterrico au bord de la mer. On s’est encore fait avoir par la carte par contre. La route par laquelle on est arrivée ne s’y rendait pas. Il y avait un service de lancha qui parcourait la lagune. On a donc encore une fois embarqué nos vélos et profité de la traversée. La ville est reconnue pour la sauvegarde des tortues marines, s’était donc notre dernière chance d’en voir en nature (août à novembre est la saison de la ponte). Malheureusement la soirée qu’on a marché sur la plage le temps était tellement mauvais qu’elles ne devaient pas avoir envi de sortir de la mer. On a eu tout un spectacle, le ciel était tellement noir qu’on ne voyait pas à plus de 2 pieds devant nous et il y avait des éclairs gigantesques, c était complètement capoté, inoubliable.
 
 


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